Mise à jour le 25 janvier 2016
Agir sur les techniques culinaires avec l’introduction progressive des produits Bio.
Modifier la forme d’approvisionnement (c’est plus facile avec les grossistes non bio qui s’approvisionnement dans le monde entier et qui répondent à la demande la plus folle) alors qu’il est plus complexe mais plus enrichissant de construire des partenariats locaux et de réaliser des menus qui respectent à la fois la saisonnalité et l’offre encore faible locale.
Il est moins porteur en terme d’image de remplacer les produits raffinés par des bio non raffinés mais c’est le plus grand pas vers une santé meilleure des convives.
A chaque gestionnaire de le « vendre » comme cela aux convives, nous leur souhaitons de réussir...
Ceci est un commentaire : Nous pourrions également préciser qu’il faut annoncer le changement sur une période courte et de ne plus en parler par la suite mais de continuer d’agir en augmentant progressivement la part des produits bio et d’origine locale tout en élevant la qualité gustative.
Rappelons-nous que 90% des convives « se fichent » que leur assiette soit composée ou non de produits bio, du moment que cela leur parait « bon ».
En effet, le formatage des papilles gustatives de plusieurs décennies d’humains au salé et sucré raffiné, au glutamate et au gluten leur a enlevé une bonne partie de leurs perceptions initiales.
Souvent, un effort doit être fait par le convive pour retrouver les saveurs oubliées…
Diminution des grammages, introduction des céréales.